Attention: Il est conseillé d'écouté la musique suivante alternativement à votre lecture: http://www.deezer.com/#home ! Faites la recherche "Im not a hero the dark knight", si vous voulez être vraiment dans l'ambiance, cela est fortement conseillé !
-"Récapitulons, nous disposons de vingt milles soldats, tous sont désormais installés devant la citadelle. Ma reine prendra le commadement des forces d'Annodalleb, Ack et Barbeuk dirigerons toutes les unités terestres restantes, Smon se chargera de dirigé les géants en première ligne. Loutre commandera les unités volantes que nous ont envoyés les elfes. Enfin, je me chargerai avec une unité spéciale que j'ai formé d'attaquer leurs premiers soutiens tels que les chariots à cendre, les fanatiques, etc. Nous partirons dans trois jour dès que tout les hommes se seront rassasiés et reposés. Nous frapperons leurs murailles tel un cochon frappe une méduse, tel un cerf frappe un serpent, tel une noix de cajou frappe un concombre,tel un..."
-"L'ennemi approche, l'ennemi est à nos portes seigneurs !"
Un espion placé près des murailles d'Oesophage venait de donner son rapport annonçant qu'il y a deux jours, quarante milles têtes étaient sortit du repaire en direction des montagnes de Nosexforonepého.
-"Et merde ! Demandez à tout les paysans d'aller ceuillir toutes leurs récoltes et de les ramener à l'entrepot n°2 ! Qu'ils ceuillent tout leurs comcombres, leurs gingembre, leurs poireaux, leurs asperges, tout !
Les généraux s'éxécutèrent, tous partirent mettre au courant les soldats de l'approche de l'ennemi vers les terres d'Annodalleb. Sur le chemin, Barbeuk annonça à Ack qu'avec une masse, c'était parfois difficile de tuer une anguille et que sa grand mère, Maïté, avait eu des difficultés une fois à en claqué une. Tous les soldats furent immédiatemment réunit devant la porte principale d'Annodalleb. Chacun savait que la mort venait à leur rencontre. Ils étaient surexcités.
On entendait un grondement qui s'échappait du sol au loin.
Note: pour ce paragraphe, il est conseillé d'écouter, sur le même site, la musique suivant cette recherche: A little push the dark knight
Dans les montagnes noires, Barbichette, Despe et Olddrong étaient enfin devant les portes de la cité du volcan noir, où se réfugiait les mercenaires Vyrlorks. Cependant, après avoir attendu plusieurs minutes devant le grand portail, personne n'était venu ouvrir. Ils se permirent alors d'entrer. Aucune lumière ne s'échappait de la citadelle. Les hommes se dirigeaient dans la plus profonde pénombre vers la place centrale, sans même l'éclairage de la lune, cachée par les falaises qui entouraient la demeure des Vyrlorks. Arrivés à destiantion sans avoir croisé le moindre signe de vie, Despe descendit de sa monture pour allumer les flambeaux supposés être présents, il décocha une baguette de sa ceinture et murmura quelques paroles. Aussitôt, des flammes s'allumèrent tout le long des remparts, dans chaque rue, sur l'ensemble de la place. Mais à cette instant, chacun eut alors un sursaut suivit d'une sueur froide. Toute autour de la grande place où se tenait le régiment, on découvrit uen horde de zombies, vêtue d'une armure épaisse noire, avec le visage décomposé mais pas encore squelettique. Certains se trouvaient même sur des cerfs mort-vivants. Barbichette fut surpris de constaté que les Vyrlorks avaient choisis pour la vie éternelle plutôt que de mourir avec honneur. L'un des trois qui se trouvait sur un cerf se dirigea vers la salle de commandement. Barbichette et Despe le suivirent, Olddrong restant avec le reste des troupes. Ce dernier, avait besoin ,tout comme le reste de ses soldats, de se soulager. Il demanda à l'un des zombie restant sur son cerf de lui indiquer les toilettes, mais ce dernier, qui avait la mâchoire qui pendait da le vide ne réagit pas. L'un des soldats d'Annodalleb cracha alors sur un zombie car il regrettait d'avoir fait tout ce chemin pour avoir un acceuil si froid. Voyant que les mercenaires ne réagissait en rien, tous les soldats urinèrent sur la place, certains même se soulagèrent directement sur les cadavres ressuscités.
A quelques centaines de pas, les deux commandants entrèrent dans la salle du trône, devancé par le chef des Vyrlorks. Ce dernier alors se retourna, les portes se refermèrent comme par magie, les flammes des flambeaux virèrent au bleue et la pièce s'assombrit.
-"Et merde..." lança Barbichette.
-"Qu'est ce que cela veut dire ?" interrogea Despe.
-"Il est trop tard, votre cause est perdue d'avance, le roi Batman vaincra tout vos semblables. Seul le grand seigneur Batman peut remporter la..."
-"Il délire hein Despe ? Il est bourré, tu crois ?"
-"Je crois surtout que nous ne sommes pas les premiers à lui rendre visite... Batman a du les exterminés et faire appel à ses prêtres de sang de les ressuscités de façon à ce que leur volonté lui appartienne."
Soudain, le vyrlork eut les orbites remplit non plus d'une flamme bleue mais d'un regard noir, avec au centre une flamme étincellante. L'être corrompu prit une voix encore plus grave:
-"Vous ne pourrez jamais réunir assez de forces pour me vaincre, vous allez périr ici, comme tous ceux de ce monde, mes ressources sont infinis !"
-"Batman... Qu'entendez vous par "des ressources infinis ", je ne comprends pas..." osa le nain.
-"A quoi bon, vous allez mourir, quoique, de toute manière je vais envoyés quelques prêtres vous mettre à mon service, je peux bien vous dire. Je fais appel aux armées d'un monde parallèle, vous irez sous mon commandemment entraînés les troupes venant directement du portail reliant ses deux mondes. Il arrive un peu plus de créatures chaque jour... Oh, au fait, n'espérer plus rien du groupe que vous avez envoyer chez moi, en ce moment même ils sont acceuillit comme il se doit..."
Le nain voulut en demander plus mais la couleur des orbites du monstre redevirent bleues glacés. Dans la main du vyrlork apparut alors un long fouet de la même couleur que les flammes des torches et des orbites de l'ennemi. Derrière les portes, on entendit les hurlements des soldats d'Annodalleb et le cri de fureur des zombies. Une trentaine de monstres sortirent des murs, du sol, de partout. Barbichette, qui sans avoir renseigner ses amis s'était entraîner à soigner mais également à se consacré à une nouvelle branche encore méconnut par sa personne avec Despe. Il posa sa main gauche sur le sol avec Despe qui fit de même de sa main droite. Une marque s'échappa du sol, tel des signes tribales s'emmêlant tout autour d'eux. Une longue chaînes verte émeuraude fit son apparition, relié à un pied de Barbichette, solidement attaché. Despe enroula la chaîne sur ses mains et ses avant-bras. Barbichette courut alors vers le Vyrlork, une épée et un bouclier aux mains, toujours avec la châine qui lui prenait un pied, il sauta sur sa cible en tentant de le fendre en deux mais le vyrlork, bien que surpris, s'écarta de justesse, et se fit trancher une main. Le nain continua alors de courir, le chaman cria une courte formule qui augmenta alors sa force et sa vitesse, tout en courant vers le centre de la salle. Barbichette tournait désormais, frôlant les murs. Despe enroula alors le mou de la chaîne autour de lui. Il fit alors un sort inversant les gravités entre toutes les personnes reliés à la châine. Despe fut alors le pillier soutenant Barbichette qui venait de quitter le sol et qui tournoyait désormais dans le vide, se réfugiant dans son armure en plaque et derrière son bouclier. Il fut un vrai boulet de canon relié au point central qu'était le chaman. Toutes les créatures qui fesait face périssaient en se prennant un gros nain dans la gueule allant à une vitesse incroyable, en provoquant un choc particulièrement violent. Le vyrlork qui s'était accroupit pour chercher son arme qui était tombé avec sa main sur le sol, ne fesait pas attention au boulet humain, enfin au boulet nain qu'était le cousin d'Olddrong. Quant il la retrouva, il se releva d'un coup, en exprimant sa joie, juste avant de se prendre un énorme coup qui le raffla d'un coup et le réduisa en milles morceaux. Le boulet ralenti, en decrecendo, jusqu'à s'arrêter. Le nain vomit sur le monceau de cadavres qui jonchait le sol à cause d'un horrible tourni.
Cependant, le chef vyrlork se reposa pendant que le nain récupérait. Il reprit alors son arme qu'il avait de nouveau fait tombé puis la lança vers les deux compagnons. Ils étaient condamnés à la prendre en pleine poire lorsque une flèche de sable frappa la tête du fouet, fesant fondre le fouet. Olddrong sauta alors d'une fenêtre pour se joindre au combat.
-"Leur point faible est le sable, tel le sable fait fondre la glaçe, on comprend que c'est peu commun comme point faible, je comprends maintenant pourquoi on n'avait jamais trouvé leur défaut. Faites comme nous avons fait dehors, ils sont sensibles après avoir été tué au feu naturel, cela les empêche de revivre, nous l'avons découvert par hasard quand l'un des flambeaux est tombé sur un cadavre fraîchement décapité" lança le chasseur.
Il décocha alors deux nouvelles flèches dans les yeux de l'ennemi, qui hurla de douleurs, le paladin jetta alors son épée dans le torse du chef des zombies puis courut vers se dernier pour la retirée et lui tranché la tête.
-"Dégage vite de là, Barbichette !" cria Despe.
Une pluie de fines gouttes de pluie de feu s'abattu alors sur le mercenaire, fesant disparaître la moindre de ses particules.
Le reste du régiment, qui n'avait subit que de légères pertes grâce à la hasardeuse découverte qu'ils avaient faites rapidement, se mit à répété le même rituel sur chaque cadavre de la citadelle, chaque recoin avait été fouillé pour évité tout problème. Le jour était revenu, le régiment, épuisé par les combats se reposait. Toute la cité avait été nettoyé. Même les cerfs avaient été brûlés. Olddrong envoya à Annodalleb un messagé chargé d'annoncer que la cité des vyrlorks était leur. Qu'il comptait avec Barbichette et le nouveau renfort qu'était Despe et ses chamans se servir de la cité comme point de ralliement pour les troupes du continent qui viendrait. Des soldats avaient été envoyés dans toutes les régions voisines ainsi que dans la capitale de l'unique continent, Pylhth, où il avait jusque là été impossible de demander renfort puisqu'il venait d'y avoir un coup d'état. A la fin de la lettre, le roi Pagromf pourrait également voir que la citadelle avait été renommé la cité d'Eninpalol.
Voilà enfin le retour de la quête du Tétard, qui était un peu partit en vacances. J'espère que vous êtes contents =} La suite dès le Tome 21 !